Colloque 2013, Kaoru

Colloque 2013, Deuxième journée

Colloque 2013, Première journée

Symposium Marcé-WAIMH

LA DÉFENSE – CNIT –  2012 – du  28 NOVEMBRE  au  1ER DÉCEMBRE
CONGRÈS FRANÇAIS DE PSYCHIATRIE 4ÈME ÉDITION
Psychiatrie, intersubjectivité et interaction sociale

MERCREDI 28 NOVEMBRE 2012 • FORUM DES ASSOCIATIONS
10h00 – 13h00 • Symposium MARCE – WAIMH

10h00 – 11h30 • MARCE
Les bébés somatiquement vulnérables : enjeux interactifs et relationnels –
Intrications avec la psychopathologie maternelle |
Président : Michel DUGNAT – Marseille

>Enjeux développementaux, psychiques et relationnels des naissances prématurées | Anne-Laure SUTTER – Bordeaux
>Devenir des enfants après grossesse sous psychotropes |
Christine RAINELLI – Limoges
>Spécificités du deuil maternel après une mort foetale |
Sylvie NEZELOF – Besançon

 

11h30 – 13h00 • WAIMH
Naissance de l’intersubjectivité chez le bébé |
Président : Joëlle ROCHETTE-GUGLIELMI – Lyon

>L’actualité du concept d’épigenèse interactionnelle | Jacques COSNIER – Lyon
>La genèse de la subjectivité et motricité intentionnelle |
Jacques DAYAN – Rennes
>Aux origines du narcissisme : nature des expériences relationnelles précoces | Régine PRAT – Paris

Information & inscriptions
http://www.congresfrancaispsychiatrie.org
CARCO • 6, cité Paradis • 75010 Paris • France
Tél. + 33 (0)1 55 43 18 18 • Fax + 33 (0)1 55 43 18 19
info@congresfrancaispsychiatrie.org

CoDES Vaucluse

Avignon : mercredi 6 juin 2012, de 17h00 à 19h00, salle des fêtes de la Mairie d’Avignon

Conférence organisée en partenariat avec le CoDES de Vaucluse

Nous vous proposons une rencontre avec François Bourdillon, médecin de santé publique à l’occasion de la sortie du

« Manifeste pour une santé égalitaire et solidaire »

d’André Grimaldi, Didier Tabuteau, François Bourdillon et Frédéric Pierru

Entrée gratuite sur inscription par mail auprès de l’ARIP : nous contacter

Actualité littéraire

Actualité littéraire :

Trois intervenants que nous avons eus grand plaisir à accueillir à l’occasion des colloques de l’ARIP voient leur dernier ouvrage paraître cet automne. Nous vous invitons à découvrir…

Soutenir et contrôler les parents. Le dispositif de parentalité de Gérard Neyrand (Ed. Erès)

« Les mesures de soutien à la parentalité ont été conçues dans une perspective de participation des parents s’étayant sur leur mise en confiance, mais ils sont soumis comme l’ensemble des actions à destination des parents à l’ambiance sécuritaire actuelle et aux injonctions managériales à une évaluation assez intrusive des pratiques.

J’analyse dans le petit ouvrage présenté ici la logique de développement d’un véritable  » dispositif de parentalité », visant en premier lieu le soutien des parents, mais qui a tendance à dériver vers un contrôle sécuritaire et managérial accru. J’essaye notamment de montrer l’intérêt de l’articulation en réseaux de ces actions, et les pressions contradictoires auxquels ces réseaux sont soumis… »

Enfance obscure par Pierre Péju (Ed.: Gallimard Collection : haute enfance)

Dans le droit fil de Naissances et de La petite Chartreuse, Pierre Péju poursuit une méditation sur l’enfance au fil de laquelle se dégage la notion d’« Enfantin », qui permet de comprendre comment les impressions de nos premiers jours hantent notre vie adulte, non pas comme des souvenirs mais comme des blocs perceptifs, des clartés et des ombres. Ces impressions originelles sont la clef de notre singularité, de notre style, et de ce que Bergson appelait « la courbure de notre âme ». Accueillir l’Enfantin n’a rien de nostalgique. C’est au contraire une incitation à prendre des initiatives, à créer, ou à trouver une écriture restituant la saveur des premières fois. Alternance de récits intimes et de lectures d’écrivains (Nabokov, Sarraute, Leiris, Kafka) ou de penseurs (Bachelard, Sartre, Walter Benjamin, Lévi-Strauss, Deleuze), Enfance Obscure reprend quelques questions profondes que la modernité a soulevé, en « découvrant » et en valorisant l’enfance. Quels liens notre imaginaire tisse-t-il entre les enfants et les morts ? D’où vient la familiarité de l’enfant avec l’animal ou le monstrueux ? Qu’est-ce que la haine des enfants ? Pourquoi faut-il des grandes personnes ? Comment la philosophie a-t-elle considéré l’enfance ? Quelle part d’enfance est nécessaire à toute création artistique ? Revenir à l’enfant que nous fûmes donne accès à toute l’enfance, nous permet de retrouver l’enfant étranger, ou l’enfant anonyme, que nous avons été aussi et d’en accepter l’énigme définitive. Car toutes les enfances communiquent : des passages secrets relient les plus lointaines aux plus actuelles.

Les solidarités mystérieuses de Pascal Quignard (Ed. Gallimard, collection Blanche)

« Ce n’était pas de l’amour, le sentiment qui régnait entre eux deux. Ce n’était pas non plus une espèce de pardon automatique. C’était une solidarité mystérieuse. C’était un lien sans origine dans la mesure où aucun prétexte, aucun événement, à aucun moment, ne l’avait décidé ainsi. »

En Bretagne, de nos jours, près de Dinard, une femme d’une quarantaine d’années retrouve par hasard le professeur de piano de son enfance. Cette femme âgée lui propose de venir habiter chez elle. Petit à petit, elle se réinstalle dans la petite ville où elle a vécu autrefois, retrouve son premier amour, se lie comme jamais elle ne l’avait fait avec son frère plus jeune, redécouvre les lieux, les chemins, les roches, se passionne pour la nature, la mer.

Soudain, un jour, sa fille, qu’elle n’avait plus vue depuis des années, revient vers elle.

De façon polyphonique, tous les personnages qui la côtoient (un prêtre, la bonne du professeur de piano, son frère Paul, un cultivateur, la factrice, un cousin qui vit près de là, la conductrice du car de ramassage scolaire, la masseuse de la thalassothérapie, sa fille Juliette) évoquent cette femme dont la destinée paraît de plus en plus étrange. Chacun a son interprétation. Chacun essaie de comprendre les rapports troublants, mystérieux, silencieux, sauvages que Claire se met à entretenir avec sa famille, l’amour, la falaise, le ciel, les oiseaux, l’origine

Madame Saskia WALENTOWITZ

Vendredi 16 Décembre 2011

Faculté de médecine de Marseille – Université de Méditerranée Aix-Marseille II

Madame Saskia WALENTOWITZ (Berne) sera présente dans le cadre du D.U.
« L’enfant malade, pour une alliance de soins » développement et Psychopathologie du très jeune enfant.

Sur le thème « Approche anthropologique des nourrissons prématurés Touaregs »

Des invitations exceptionnelles pour cette journée sont possibles en vous adressant auprès de l’ARIP.

 

Responsable : Professeur François POINSO

Service de Psychiatrie Infanto-Juvénile – Hôpital Sainte-Marguerite

Pour tout renseignement s’adresser à :

Solange LOUIS Email : solange.louis@ap-hm.fr

Marie-Pierre PIGNOLO Email : marie-pierre.pignolo@ap-hm.fr

Consulter le programme du D.U.

Formation DU Marseille

Faculté de médecine de Marseille

Université de Méditerranée Aix-Marseille II

D.U. « L’enfant malade, pour une alliance de soins »

Développement et Psychopathologie du très jeune enfant

Responsable : Professeur François POINSO
Service de Psychiatrie Infanto-Juvénile – Hôpital Sainte-Marguerite

Pour tout renseignement s’adresser à :
Solange LOUIS Email : solange.louis@ap-hm.fr
Marie-Pierre PIGNOLO Email : marie-pierre.pignolo@ap-hm.fr

Consulter le programme du D.U.

Mère à vif : France Inter 17 avril 2011

INTERCEPTION – France inter – Dimanche 17 avril 2011

Une grande partie des reportages de cette émission ont été réalisés au sein de l’unité Parents-Bébé du Centre Hospitalier de Montfavet

Cette émission peut-être (ré)-écoutée sur le site de France inter :

http://sites.radiofrance.fr/franceinter/em/interception/

Dans le langage médical, on l’appelle « la dépression post-partum ». Il s’agit de cet abattement profond qui frappe, après l’accouchement, environ une mère sur 10. La dépression post-partum n’a rien à voir avec ce que ‘on appelle communément le « baby-blues », ce coup de déprime qui apparaît plusieurs jours après l’accouchement et disparaît en moins de deux semaines. La dépression post-partum se caractérise par un sentiment de profonde culpabilité chez la jeune mère, face à un bébé pour lequel elle ne ressent rien, devant auquel elle se sent totalement dépourvue, désorientée, voire paniquée. Ces mères ignorent tout du bonheur intense que représente « normalement » l’accouchement. Et le problème ne se limite pas à la mère, puisque l’enfant ressent très vite le malaise. Les conséquences à long terme peuvent en être dramatiques. Depuis des années, la médecine a pris en compte le phénomène. Il existe aujourd’hui quelques structures d’accueil, complétées par des interventions à domicile. Les équipes sont composées de spécialistes de puériculture, de psychiatrie, de personnels soignants. Les résultats sont souvent spectaculaires.

Reportage : Hélène Chevalier Présentation : Pascal Dervieux

Fin du colloque 2011

Le colloque 2011 a rencontré un franc succès : plus de 1000 personnes dans le Palais des Papes.

Bientôt, vous trouverez sur le site des photos et des vidéos des moments forts.

Le livre « Soigner prendre soin du bébé et de ses parents » paraîtra aux Editions ERES, courant 2012.